Une journée particulière puisque les femmes et notamment les réalisatrices étaient à l’honneur.
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Dans le cadre de la Compétition officielle, qui s’offre un moment de répit, c’était le nouveau film de Naomi Kawase, Caméra d’or 1997 avec Suzaku, découvert à la Quinzaine des réalisateurs, qui débutait la journée.
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Vers la lumière (Hikari), se focalise sur la rencontre entre Misako, dont le métier est de faire de l’audiodescription pour le cinéma pour les mal et non-voyants, et un photographe de renom en train de perdre la vue. Un mélodrame plein de poésie mis en musique par le trompettiste Ibrahim Maalouf.
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La Sélection Un Certain Regard présentait deux premiers films réalisés par des femmes. Production française, Jeune Femme, de Leonore Serraille, suit les tribulations de Paula dans Paris avec une Laetitia Dosch survoltée dans le rôle principal.
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La seconde, franco-italienne, était Après la guerre (Dopo la guerra) d’Annarita Zambrano, par ailleurs réalisatrice de courts et d’un documentaire, L’anima del Gattopardo. Un drame familial sur fond de terrorisme et de repentance.
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Dans le cadre des Evénements 70e anniversaire, Jane Campion, seule réalisatrice lauréate de la Palme d’or pour La Leçon de piano, présentait six épisodes de sa série Top of the Lake : China Girl, coréalisée avec Ariel Kleiman et dans laquelle figure Nicole Kidman.
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Si le Festival de Cannes célèbre le cinéma, plus que jamais cette année les films présentés en compétition reflètent la réalité et les problèmes du monde actuel. Après l’attentat de Manchester survenu lundi soir, le Festival de Cannes s’est déclaré pour les victimes de l’attentat de Manchester dans un communiqué officiel.
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