Après avoir incarné Loki dans Thor et Avengers ou encore récemment le Baronnet Sharpe dans Crimson Peak, Tom Hiddleston revient dans la peau du Dr. Robert Laing, le nouveau résident du High-Rise, un immeuble assurément pas comme les autres !
En s’inspirant du roman culte de J.G. Ballard, le premier teaser trailer de ce drame de science-fiction peut d’ores et déjà se targuer d’être à la hauteur de cette satire particulièrement corrosive sur la société, publiée en 1975. Plus de quarante ans après les émules qui avaient éclaboussé tout le microcosme littéraire, l’œuvre subversive prend, ici, toute son ampleur grâce à une transposition menée par Ben Wheatley, à qui l’on doit Touristes ou encore Kill List.
Le récit se concentre sur le dénommé Robert Laing, un docteur avide d’anonymat, qui pose ses valises au High-Rise, un immeuble londonien réputé atypique et au sein duquel il va faire la connaissance de voisins obsédés par une étrange rivalité. Cette guerre des nerfs va les conduire à commettre des actes répréhensibles entre sexe, alcool et décrépitude mentale, au son de la bande originale du génial Clint Mansell.
Outre son intrigue plutôt sulfureuse, High-Rise, dont les portes s’ouvriront le 6 avril 2016 dans les cinémas français, distribués par The Jokers/Le Pacte, abrite un casting alléchant composé de Jeremy Irons, Sienna Miller et Stacy Martin. Vous pouvez également découvrir un site viral dédié au film.
Synopsis : 1975. Le Dr Robert Laing, en quête d’anonymat, emménage près de Londres dans un nouvel appartement d’une tour tout juste achevée ; mais il va vite découvrir que ses voisins, obsédés par une étrange rivalité, n’ont pas l’intention de le laisser en paix… Bientôt, il se prend à leur jeu. Et alors qu’il se démène pour faire respecter sa position sociale, ses bonnes manières et sa santé mentale commencent à se détériorer en même temps que l’immeuble : les éclairages et l’ascenseur ne fonctionnent plus mais la fête continue ! L’alcool est devenu la première monnaie d’échange et le sexe la panacée. Ce n’est que bien plus tard que le Dr Laing, assis sur son balcon en train de faire rôtir le chien de l’architecte du 40ème étage, se sent enfin chez lui.
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