Non, il ne s’agit pas d’un rêve éveillé ni d’une offre alléchante en apparence mais qui vous allège quand même à l’arrivée d’une belle poignée d’euros. Grâce à Open Culture, vous avez la possibilité de voir en ligne gratuitement pas moins de 700 films.
Il y en a pour tous les goûts : des courts ou longs métrages, des comédies, des drames, des westerns, des polars, des films d’horreur ou de science-fiction, des documentaires ou des films d’animation, en noir et blanc ou en couleurs, muets ou parlants, des classiques ou des films méconnus, des chef-d’œuvres et des nanars, signés par des réalisateurs connus ou non et interprétés par des acteurs célèbres ou oubliés.
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Nous vous proposons ci-dessous un petit florilège, à prendre comme une invitation à explorer Open Culture. Vous devriez y trouver votre bonheur…
FEAR AND DESIREÂ (1953)
Premier long métrage de Stanley Kubrick que le réalisateur voulut détruire.
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THE LAST MAN ON EARTHÂ de Sidney Salkov (1965)
Première adaptation du roman de Richard Matheson avec Vincent Price au générique.
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VINYLÂ s’Andy Warhol (1965).
Il signe une adaptation très libre du roman d’Anthony Burgess Orange Mécanique.
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THE INTRUDER de Roger Corman (1962), d’après le roman de Charles Beaumont
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SIX MEN GETTING SICKÂ (SIX TIMES)
Premier court métrage d’un certain David Lynch (1966).
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DARK SIDE OF THE MOONÂ (2002).
Sous la forme d’un documentaire, William Karel propose un canular sur la conquête de la Lune.
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DAVID BOWIE : SOUND AND VISIONÂ (2002).
Quelques moments dans la carrière de David Bowie. Des entretiens avec David Bowie, Iggy Pop, Moby et Trent Reznor.
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WHY MAN CREATESÂ (en deux parties)Â de Saul Bass
Oscar du meilleur court métrage documentaire 1969.
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