Si les pronostics vont bon train concernant le réalisateur du 25e opus de la franchise James Bond, un nom se détache aujourd’hui vraiment du lot, celui du Français Yann Demange.
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Le 8 novembre 2019 sortira le 25e James Bond. Alors qu’on évoquait certaines stars potentielles qui succéderaient à Daniel Craig – qui avait annoncé à de multiples reprises ne pas vouloir reprendre le rôle -, celui-ci ressortira finalement son smoking. Craig partira pour une nouvelle mission dont le script trouve Neal Purvis et Robert Wade comme auteurs, les mêmes qui étaient à l’écriture de Le monde ne suffit pas, Casino Royale, Quantum of Solace mais également les deux derniers de la franchise, Skyfall et Spectre.
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Voici pour ce que l’on sait. L’élément que l’on ignore encore en revanche, c’est le nom du réalisateur de cet opus. Ont été évoqués Christopher Nolan, dont le film Dunkerque est actuellement à l’affiche, Denis Villeneuve, qui reviendra dans les salles en octobre avec Blade Runner 2049, David Mackenzie (Comancheria) ou encore le réalisateur de Baby Driver, Edgar Wright. Cependant c’est Yann Demange, un frenchy de 40 ans qui serait en lice, comme le rapporte Variety.
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L’homme a réalisé 71 en 2014 et plus récemment White Boy Rick avec Matthew McConaughey, qui sortira en 2018 et qui raconte l’histoire d’un adolescent devenu informateur sous couverture dans les années 1980, avant de se trouver empêtré dans une affaire de trafic de drogue et d’être condamné à la prison à perpétuité.
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Mais la vingt-cinquième aventure du plus célèbre des agents anglais cherche également un distributeur. Produite par Michael G. Wilson et Barbara Broccoli, de la société basée à Londres EON ainsi que MGM qui détient les droits de la franchise, cette suite aurait pour prétendants Annapurna, la Fox ou encore Universal selon Deadline. Cependant, c’est Warner Bros qui serait en pole position pour prendre le relais de Sony, qui distribuait les précédents films.
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Si l’information se confirme, Yann Demange aura sur ses épaules la lourde tâche critique et financière de réaliser un James Bond à la hauteur de ceux de Sam Mendes. En effet, l’espion au service de sa Majesté avait gagné une profondeur sombre sous les traits du réalisateur. De plus Skyfall et Spectre avaient été des succès commerciaux avec respectivement 1.1 milliard et 880 millions de recettes dans le monde.