Entre déferlement et banalisation des images, entre marketing et ostracisme, entre scènes mal filmées, mal éclairées, mal montées et/ou mal mises en musique, l’art du langage corporel et de la nudité dans les séquences torrides, pourtant si consubstantiel au cinéma, reste une affaire difficile à réaliser. Dans la longue liste des films aux ébats sulfureux, maintes fois cités dans les top ten (9 semaines ½, Basic Instinct, Proposition Indécente, Ghost, Fatale ou encore L’Empire des Sens, Un dernier tango à Paris), la sélection ci-dessous a plutôt le désir d’en extraire une singularité – comme un penchant, un instant furtif, une mise… Lire la suite >>